[vc_row height= »auto » width= »full » bg_type= »image » parallax_style= »vcpb-default » bg_image_new= »id^1752|url^https://www.cuartetotafi.com/wp-content/uploads/2020/12/cuarteto-tafi-amanecer-BG-site-BD.jpg|caption^null|alt^null|title^cuarteto-tafi-amanecer-BG-site-BD|description^null » bg_image_repeat= »no-repeat » bg_img_attach= »fixed »][vc_column][us_image image= »1293″ size= »full » align= »center »][vc_column_text css= »%7B%22default%22%3A%7B%22padding-right%22%3A%2240px%22%2C%22padding-left%22%3A%2240px%22%7D%7D »]
image 2L-Image
[/vc_column_text][us_separator size= »custom » height= »40px »][vc_row_inner][vc_column_inner width= »1/2″][vc_column_text css= »%7B%22default%22%3A%7B%22padding-right%22%3A%2240px%22%2C%22padding-left%22%3A%2240px%22%7D%7D »]
C’est lors d’un voyage en Argentine, sur les terres colorées et arides du nord ouest argentin, que ce quartette franco argentin se retrouve pour la première fois. Perchés sur une montagne à 3000 mètres, en arpentant les scènes ouvertes populaires, les musiciens décident d’appeler cette rencontre musicale et humaine le Cuarteto Tafi.
Depuis ses débuts sur la scène française le groupe a apporté sa touche personnelle et originale à la word music en mêlant du chant en espagnol poétique et engagé – douce nostalgie de l’exil argentin de la chanteuse – au son de la Méditerranée oriental du bouzouki grec, à la douceur et à la dextérité de la guitare flamenca et aux rythmes envoûtants des percussions afros-latines.
Chacun avec son histoire et ses influences métal, salsa, flamenco, rock. De ces différentes personnalités et histoires musicales ils ont réussi à créer une entité, 4 albums et une notoriété remarquée dans le scène nationale.
[/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »1/2″][vc_column_text css= »%7B%22default%22%3A%7B%22padding-right%22%3A%2240px%22%2C%22padding-left%22%3A%2240px%22%7D%7D »]
Aujourd’hui le style musical se décloisonne, se décomplexe, se propulse et s’affranchit : une originale fusion entre la musique aux influences latino-américaines et les arrangements aux sonorités modernes.
Leur musique nous murmure et nous crie le monde, avec ses aigreurs et ses failles, ses douloureuses frontières et ses révoltantes injustices, mais aussi avec ses beautés et ses bourgeons d’espoir, ses amours et ses combats.
Autour de Leonor Harispe, chanteuse rayonnante avec une présence scénique remarquable, Ludovic Deny (Bouzouki), Matthieu Guenez (Guitare et Oud) et Frédéric Theiler (Percussions) s’imposent avec force sur ce 4 ème album irrésistiblement énergique et poétique.
[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner width= »1/2″][us_image image= »1726″ css= »%7B%22default%22%3A%7B%22padding-left%22%3A%2240px%22%2C%22padding-top%22%3A%2240px%22%2C%22padding-bottom%22%3A%2240px%22%2C%22padding-right%22%3A%2240px%22%7D%7D »][vc_column_text css= »%7B%22default%22%3A%7B%22padding-right%22%3A%2240px%22%2C%22padding-left%22%3A%2240px%22%7D%7D »]
LEONOR HARISPE (chant, textes)
Après l’exil de sa famille dans les années 70-80 en Europe, c’est en Argentine que tout commence pour elle. Son enfance à Buenos Aires post-dictature militaire et la découverte de la musique traditionnelle, les scènes ouvertes et le folklore seront son inspiration, son engagement et sa révélation. Elle étudie le folklore dans la Escuela de Estudios folkloricos à Buenos Aires. A son arrivée en France, elle se spécifie dans la littérature sud-américaine et féministe à l’université d’Aix-en-Provence et de Toulouse. Elle découvre les planches de théâtre avec la cie Les Anachroniques en tant que comédienne bilingue français-espagnol (La casa de Bernarda Alba, Yerma(s), Las Cronicas del Sochantre, Les Délieuses de Langue, Pared…) , se spécialise dans la formation théâtrale et l’animation radiophonique (Fréquences latines/Radio Mon Pais), devient metteure-en-scène et auteure de spectacles jeunes publics (Prix des Incorruptibles, J’entends la Lluvia…), sans jamais oublier la musique et la chanson. Apparaissent les groupes LiuBila et Cuarteto Tafi dans lesquels elle compose, écrit et chante dans de nombreux festivals de musique. Avec le temps elle dédie entièrement son inspiration au Cuarteto tafi, à la composition des textes faisant référence à son identité argentine, rendant hommage à travers son chant et à son écriture au métissage culturel et à l’histoire de ce pays.
[/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »1/2″][us_image image= »1722″ css= »%7B%22default%22%3A%7B%22padding-left%22%3A%2240px%22%2C%22padding-top%22%3A%2240px%22%2C%22padding-bottom%22%3A%2240px%22%2C%22padding-right%22%3A%2240px%22%7D%7D »][vc_column_text css= »%7B%22default%22%3A%7B%22padding-right%22%3A%2240px%22%2C%22padding-left%22%3A%2240px%22%7D%7D »]
LUDOVIC DENY (bouzouki, chœur)
Il découvre la guitare à l’âge de 13 ans en écoutant Metallica, Joe Satriani et autre Steve Vai. S’en suit la création de nombreux groupes dont Leiden (2000/2007) et Manimal (2003/2013) avec lesquels il découvre le circuit professionnel (Albums, Labels, Tourneurs). Au sein du collectif « Antistatic » il
organise la promotion des ses groupes et de ceux du collectif ainsi que de nombreux concerts.A l’origine de soirées comme « Toulouse acoustique » ou encore « Toulouse is burning » visant à favoriser la rencontre et l’échange entre les musiciens du collectif dans un premier temps mais plus largement entre les différents musiciens de Toulouse, son but est de mélanger au maximum les influences de chaque artiste pour faire émerger de nouvelles sonorités.
Il abandonne le métal avec la découverte des musiques vivantes, les musiques des Balkans, méditerranéennes et surtout la musique argentine. La guitare saturée laisse place au doux son du Bouzouki, instrument rencontré lors d’ un voyage en Grèce. Avec Mathieu, de Frédéric et Léonor il crée enfin le Cuarteto Tafi et explore de nouveaux horizons
Aujourd’hui il se consacre exclusivement au Cuarteto Tafi au niveau artistique avec la recherche permanente de création et de développement du propos musicale du groupe.
[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner width= »1/2″][us_image image= »1724″ css= »%7B%22default%22%3A%7B%22padding-left%22%3A%2240px%22%2C%22padding-top%22%3A%2240px%22%2C%22padding-bottom%22%3A%2240px%22%2C%22padding-right%22%3A%2240px%22%7D%7D »][vc_column_text css= »%7B%22default%22%3A%7B%22padding-right%22%3A%2240px%22%2C%22padding-left%22%3A%2240px%22%7D%7D »]
MATTHIEU GUENEZ (Guitare, oud)
Débutant la guitare en 1998 grâce à David Garcia (musicien franco-espagnol), Matthieu tombe sous le charme du jazz manouche dès son arrivée à Toulouse en 2005. Au fil des rencontres, il crée en 2008 le groupe LiuBila et connaît au même moment ses premières expériences théâtrales en jouant au coté de la compagnie des « Anachroniques ». Perfectionnant sa technique dans le jazz au sein de « Music’Hall » sous la direction de Mathieu Royer et Laurent Marc, il dispense également des cours de guitare. Après de nombreux voyages dans divers pays latino Américains, il crée le groupe Cuarteto Tafi en 2010, accompagné de Leonor Harispe, Ludovic Deny et Frédéric Theiler. Après sa rencontre avec le oud, qu’il étudie en Grèce, en Turquie et au Moyen Orient, il se spécialise dans le flamenco auprès de José Sanchez de la Fabrica Flamenca à Toulouse, ainsi qu’en Andalousie (Carmen De Las Cuevas à Grenade).
[/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »1/2″][us_image image= »1743″ css= »%7B%22default%22%3A%7B%22padding-left%22%3A%2240px%22%2C%22padding-top%22%3A%2240px%22%2C%22padding-bottom%22%3A%2240px%22%2C%22padding-right%22%3A%2240px%22%7D%7D »][vc_column_text css= »%7B%22default%22%3A%7B%22padding-right%22%3A%2240px%22%2C%22padding-left%22%3A%2240px%22%7D%7D »]
FREDERIC THEILER (percussions, chœur)
Autodidacte, il fait ses premières armes dans des styles musicaux aussi riches que variés (Rock, funk, high life). Il se spécialise la musique afro-cubaine avec legroupe de latin-jazz « Takaja » après deux voyages d’étude à Cuba. Il crée au début des années 2000 le groupe « Oscar Latin » qui deviendra l’une desréférences de la Salsa toulousaine dans le prestigieux club du Puerto Habana. Enseignant de percussions à l’école Dante Agostini il participe au projet « Alibaba et les 40 batteurs » (Odyssud, La halle aux grains) et joue également avec le groupe Conga Libre (Arènes du festival Tempo Latino, La grande Battle France2). Avec le CuartetoTafi, il mélange les sonorités afro-latines avec la profondeur des rythmes andins.
[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][us_separator size= »custom » height= »40px »][/vc_column][/vc_row]